Résumé :
Vous n'avez pas besoin de vérifier les emails fournis par FullEnrich.
Chaque email est vérifié trois fois.
Même les emails "catch-all" sont vérifiés. Nous identifions les emails "probably valides" parmi ceux-ci.
Comment fonctionne la vérification des emails :
Chaque email est validé à l’aide d’une combinaison de deux vérificateurs et d’un score personnalisé pour classer l’email dans trois catégories :
Emails valides
Ces emails ont un taux de rebond d’environ 1 %.
Emails invalides
Si un email est invalide, nous poursuivons l’enrichissement jusqu’à ce que nous trouvions un email valide. Les emails invalides ne consomment pas de crédits.
Emails "catch-all"
Les méthodes traditionnelles ne permettent pas de déterminer avec certitude si ces emails sont valides ou non. Dans ce cas, nous utilisons une troisième méthode de validation pour avoir plus d’informations sur la délivrabilité de cet email :
Si l’email présente des signes d’activité, nous le marquons comme "probablement valide". En moyenne, le taux de rebond de ces emails est de 10 %.
Si nous ne trouvons aucun signal d’activité, l’email reste dans la catégorie "catch-all". En moyenne, le taux de rebond de ces emails est de 26 %.
Voici à quoi ressemble ce processus dans un schéma :
Pourquoi plus que juste 1 vérification ?
On a fait un gros comparatif de tous les vérificateurs d'emails:
Nous avons constaté que même lorsqu’un service de vérification signale un email comme “valide”, celui-ci génère encore trop de rebonds, avec un taux d’environ 10 %.
Cela s’explique par le fait que ces emails “valides” sont en réalité des adresses catch-all. Elles ont reçu une réponse positive, mais le système n’a pas réussi à les identifier correctement comme telles. En utilisant plusieurs services de vérification simultanément, nous pouvons déterminer avec une grande certitude si un domaine est configuré en catch-all plutôt que simplement considéré comme valide.
Comment fonctionne la vérification traditionnelle des emails ?
La vérification des emails est une méthode utilisée pour confirmer qu’une adresse email est capable de recevoir des messages. Comprendre ce processus aide à mieux interpréter le “statut de délivrabilité” attribué à chaque email par FullEnrich. Prenons l’exemple de l’email “[email protected]” pour illustrer les étapes impliquées :
Vérification de la syntaxe : Tout d’abord, le système vérifie si l’adresse email est correctement formatée. Par exemple, ‘greg@fullenrich’ échouerait au test, tandis que ‘[email protected]’ le réussirait.
Vérification du domaine : Ensuite, le système s’assure que le domaine (dans ce cas, fullenrich.com) est un domaine réel et actif.
Vérification des enregistrements MX : Cette étape consiste à confirmer les enregistrements MX du domaine. Il est crucial de vérifier s’il y a un serveur de messagerie prêt à recevoir des emails. En gros, le système vérifie s’il existe un serveur capable de gérer les emails envoyés à “@fullenrich.com”.
Test de ping : Ici, il s’agit d’envoyer un simple message ou “ping” à l’adresse email. Ce test permet de vérifier si l’email spécifique (comme [email protected]) est actif et peut recevoir des emails. À noter qu’aucun email réel n’est envoyé à cette adresse.
Test catch-all : Même si le test de ping est positif, il peut y avoir un problème. Certains serveurs de messagerie sont configurés pour toujours répondre “Oui” au test de ping, même si l’email n’existe pas. C’est ce qu’on appelle une configuration catch-all. Pour faire confiance au test de ping, il est donc nécessaire de vérifier que le serveur de messagerie n’est pas configuré en catch-all. Le service de vérification enverra alors plusieurs pings à des adresses email aléatoires pour s’assurer qu’elles ne reçoivent pas de réponses positives.
Chacune de ces étapes permet de garantir que l’adresse email est non seulement valide, mais aussi active et capable de recevoir des messages.
Comment fonctionne la vérification des emails catch-all ?
La vérification des emails catch-all repose sur deux méthodes principales :
1. Elle vérifie en temps réel si un email existe en ligne.
2. Elle recherche des comptes liés à l’email sur divers sites web.
Le système teste des centaines de sites comme Notion, Spotify, ou Google Drive. Il essaie de se connecter avec l’email et un faux mot de passe. Si le site renvoie “mauvais mot de passe”, cela signifie qu’un compte existe. Si le site affiche “aucun utilisateur avec cet email”, l’email n’est pas utilisé sur ce site.
Cette méthode n’est pas parfaite. Un email peut avoir été utilisé auparavant mais ne plus être actif aujourd’hui. Ainsi, il est impossible d’être certain à 100 %. Le système sait seulement si un compte existe, mais pas si l’email est encore valide.
Pourquoi mon processus s’est-il arrêté après un seul fournisseur ?
Sometimes, our email verification systems detect a problem at the domain level rather than with the specific email address. This could be due to an anti-spam system, specific email delivery settings, or other issues.
From our experience, any email found under these conditions tends to bounce at a much higher rate than others (70 to 95% bounce rate). Therefore, we stop the workflow immediately because we know we won’t be able to provide an email we are confident in.
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